Bienvenue sur le site d’Arbres & Territoires !

Notre approche de l’arbre est liée à celle du territoire où il se trouve… territoire organisé à partir de sa matrice naturelle modelée par l’activité de l’homme.

Autrefois, l’homme et l’arbre partageaient le même espace, le même milieu. Les communautés humaines et les communautés d’arbres ont évolué en accord avec leurs capacités et leurs exigences respectives. Aujourd’hui, l’homme conserve un lien privilégié avec l’arbre et façonne son territoire de plantations… mais le milieu n’est plus le même. Ce lien qui rassemble au sein d’un territoire les populations humaine, végétale et animale, forme une mosaïque de milieux qui ne sont pas tous favorables à la vie des arbres.

Qu’il soit indigène ou horticole, l’arbre a sa juste place dans les espaces correspondants : depuis les espaces naturels aux quartiers très urbanisés, déclinés parfois dans les étendues de nature en ville ou dans l’extension périurbaine sur les zones agricoles ou naturelles. Partout, il accompagne l’homme dans ses activités et dans ses rêves. La multiplicité et la virulence des réactions déclenchées dès qu’il est question d’arbres témoigne de la sensibilité de tous à cet être vivant extraordinaire…

Arbres & Territoires prend soin de ce lien particulier.

C’est à cela que l’activité d’Arbres & Territoires est dédiée : chaque fois que l’homme intervient sur le patrimoine arboré de son territoire (hors productions forestière et fruitière), nous répondons aux questions qui se posent à la conception des aménagements, durant la gestion des boisements, lors du renouvellement des plantations. Nous analysons les enjeux du point de vue des arbres sur la base d’un diagnostic

• de l’arbre,
• de la formation végétale à laquelle il appartient,
• des continuités/corridors
• de l’environnement,

et au regard de l’impact paysager, de la préservation des qualités écologiques et écosystémiques, mais aussi des enjeux économiques (gestion à long terme notamment) et, bien sûr, de la sécurité des usagers d’un site public ou privé.

C’est le cas dans les aménagements, les parcs, les jardins, les alignements des rues de nos villes, les situations de mutation des espaces vers d’autres usages : de la prairie bocagère à la ZAC, de la friche industrielle au parc urbain, du boisement clos à l’espace restitué au public, de la gestion classique à la gestion différenciée des espaces verts, du jardin d’hier à celui de demain…

Les données sont parfois intégrées à un système d’information géographique (SIG).